Votre professionnel dans la destruction de nid de guêpes et frelons

Elles sont les plus répandues ! Leurs nids peuvent contenir plusieurs dizaine de milliers d’individus. Elles ont un vol vif et précis pour entrer et sortir du nid. Leur nid sera de couleur grise, car elles utilisent du bois mort pour la fabriquer.

Le traitement doit être fait par un professionnel

Elles font de petits nids sans enveloppe, souvent installés au niveau des bords de toitures. Elles ont un vol moins vif à l’approche du nid, et l’on peut apercevoir, leurs dernières paires de pattes postérieures un peu plus longues que les autres. Elles peuvent se montrer gênantes en cas de nids multiples, mais restent moins agressives que les autres espèces. Une intervention peut être nécessaire même si beaucoup de gens essayent par eux même, et ça se passe souvent bien ! Prenez alors des précautions : le nid doit être visible, à l’extérieur, à hauteur d’homme et la nuit. Bien que nous ne sommes pas à l’abri d’une piqûre, et que la personne peut être allergique !

Faite alors appel à un professionnel

C’est clairement le plus agressif de tous, lorsqu’il se sent menacé ! Mais proche de son nid ou d’une ruche, il reste un fléau pour l’homme et les abeilles, mais aussi toute la biodiversité. Il est considéré comme espèce exotique invasive.

Arrivé en 2004 depuis la Chine vers le Sud Ouest de la France, 20 ans plus tard, il est sur tout le territoire !

On le reconnaît bien par son aspect assez noir, avec ses pattes jaunes et le 4 ème segment de son abdomen orangé. Si au début du printemps, une seule fondatrice (la reine) construit son nid (de la taille d’une balle de ping-pong) pour pondre et élever ses premières ouvrières.

En fin d’automne, c’est 8 000 individus qu’un nid peut contenir pour aller se nourrir aux niveaux des ruchers voisins contenant sucre (miel) et protéines (abeilles et larves).

Ce nid (en forme de goutte d’eau de 80 cm de diamètre) peut être visible en haut d’un arbre, ou caché à l’abri de la lumière.

C’est le plus gros, mais pas forcément le plus agressif, bien qu’il puisse s’attaquer aux abeilles pour s’alimenter, ainsi qu’à l’homme lorsqu’il se sent menacé. Souvent, une fois la nuit tombée, il va être attiré par les lumières de nos habitations. Son nid est TOUJOURS caché de la lumière.

Nid aperçu à Marseille en 2021, son comportement est semblable au frelon Européen. Cependant, sa capacité d’adaptation ne semble pas proliférer autant que le frelon asiatique).

Les bourdons à ne pas confondre avec les faux bourdons qui sont les mâles de l’abeille, beaucoup arrivent à le reconnaître, car il est plus trapu et plus velu. Ce qui lui permet d’être plus résistant et d’avoir une saison de pollinisation importante. C’est une espèce que j’affectionne particulièrement pour cette raison. De plus il est très peu agressif, sauf si on est très proche du nid ou en contact par accident.

D’autres espèces sont dites « solitaire », et selon leur emplacement, le risque de piqûre reste très faible, à mon sens une cohabitation est possible entre l’homme et les abeilles xylocopes (ou charpentières), la guêpe maçonne, la scolie.

Oh ! J’allais oublié ma préférée : l’osmie ! C’est l’une des toute première à sortir pour s’introduire dans de petits espaces tubulaires pour y pondre leurs larves, on la distingue par son abdomen roux que je trouve magnifique sous les premiers rayons de soleil printaniers. Je vous invite à fabriquer des cabanes à insectes avec des morceaux de bambous (diamètre +/- 8 mm) pour les observer. La chance de vous faire piquer est quasi nulle.